Ce qui menace vraiment l’Europe

Henri Malosse, Président du groupe des Employeurs au Comité Economique et Social Européen, nous fait parvenir le message suivant:

 

Ce qui menace vraiment l’Europe, ce n’est ni la crise de l’Euro, ni la faiblesse avérée de la gouvernance politique et économique, mais la désaffection croissante de l’opinion publique vis à vis, non pas de l’idée européenne, mais des Institutions européennes.
Quand les peuples n’y croient plus, les gouvernants ne trouvent plus de solutions.
C’est la raison pour laquelle, ma priorité sera aujourd’hui de construire une identité européenne au travers de projets concrets concernant par exemple les médias, les forces politiques, les partenaires sociaux, les jeunes, la culture, le sport, l’esprit d’entreprise…. Il faut donner des raisons d’être fiers d’être Européenne ou Européen.
C’est l’ambition que je voudrais donner à mon institution, le Comité économique et Social européen (CESE)

Arthur Colin
Arthur Colin
Président de Sauvons l'Europe

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21 Commentaires

  1. Cher ami Malosse,
    Quelle obstination de vouloir farie marcher la Démocratie mariée avec la Pensée-Unique. Cerla fait 30 ans que vous essayez. Mais ils sont incompatibles. La Démocratie est un dépassement de la loi de la sélection naturelle, et c’est notre statut de « sapiens » qui nous le permet, tandis que la Pensée Unique est l’expression la plus brutale de cette loi. Etait-il obligatoire de construire l’Europe avec ce système économique ? Pas du tout ! Avec la Démocratie il fallait marier le Socialisme, qui lui aussi est un dépassement. Mais nos socialistes ont tellement défiguré le socialisme, qu’il a été dénigré. Il faut le refonder avec intelligence.
    Mais, nous, européens, ne sommes pas libres ; nous sommes liés par le traité de Maastricht qui donne par son article 56 la Primauté du pouvoir à la Finance privée, et les financiers ne sonbt pas des saints.
    Denonçons donc le traité de Maastricht pour retrouver la Primaité du Politique, et nous retrouverons notre richesse et la bonne gouvernance. La Finance doit être un outil de fonctionnement du Politique et de l’Economique, mais non l’inverse.

    • Oui cette affreuse finance qui nous fait découvrir aujourd’hui que lorsqu’on consomme plus de richesses que l’on en produit, on consomme des richesses produites par d’autres. Et ces Grecs ne sont-ils pas la démonstration que lorsqu’on empêche les hommes de s’endetter, on réduit leur consommation ? Le seul moyen de ne pas être prisonnier de la finance consiste à ne pas vivre à crédit.

  2. Bonjour, constat fracassant, impliquant le mine : ‘on’ m’a volé mon idéal. Le constat populaire mais tellement juste de l’Europe du fric, ne peut en effet être corrigé que par des actions concrètes et ‘visibles’ de la rue. Cela implique sans aucun doute : l’arrêt immédiat de l’orthodoxie libérale de la soi-disante compétitivité, ne faisant du bien qu’aux gros groupes institutionnalisés, l’accessibilité des élus européens et leurs totale indépendance face aux groupes politiques dont ils sont tellement souvent les poupées parlantes, …. On le voit : ce ne sera pas pour demain. Alors : quelles actions entreprendre afin de réaliser ce qui précède et donc rendre à l’institut sa crédibilité et sa survie ? Si je le savais, je serais candidat – à condition de pouvoir l’être en tant que non appartenant à un parti politique, chose aujourd’hui carrément impossible. Et voila donc à mon avis le premier pas conditio sine qua non

  3. A droite, sur l’écran, apparaît la publicité FOREX, qui vous permet de gagner 40.000 € avec 100 € se mise. C’est la meilleure démonstration de ce que permet un tel système économique : avec 100 €, en prendre 39.900 ! à qui, mais aux autres citoyens ! Quel système de gouvernance ! On en crève, mais c’est normal ! Et dire que l’homo sapiens se droit intelligent ?!?!

  4. Cher ami Malosse,

    Avec quoi redonner le moral aux européens ? Avec quelle espérance réarmer leur mental ?

    Construire l’Europe avec un système économique qui, comme notre système politique, dépasse la loi de la sélmection naturelle. C’est notre statut de sapiens qui nous y contraint, maintenant que notre évomution et notre savoir-faire sont démontrés par la mondialisation. Oui, la mondialisation n’est pas un ennemi, mais un progrès humain. Nous avons l’intelligencee pour le faire. Nous sommes bien allés sur la Lune passer un w.e., et revenir dormir à la maison, alors nous sommes aussi capables d’organiser notre vie en société de façon éthique, intelligente ; ça demandera moins d’intelligence que d’aller sur la Lune !

    • Si les gouvernants n’avaient pas accusé l’Union européenne de tous les malheurs, nous n’en serions pas là. Maintenant qu’elle image donne l’Union, la catastrophe en Grèce. Ce n’est guère valorisant. Si on ne comprend pas qu’on parviendra à lutter contre la mondialisation en s’unissant, on court vers une dégradation de l’Europe tout entière.

  5. Je suis d’accord avec vous. Mais la responsabilité incombe nos hommes politiques qui n’ont jamais valorisé l’Europe. ni parler des apports de cette Europe dans différents domaines de notre vie quotidienne.
    Certains de nos gouvernants incapables de régler un problème trouvent un bouc émissaire facile: Bruxelles.
    Comme si New York est comptable des conflits non résolus par le monde. Et Genève pour les droits de l’homme.
    A force de dire du mal de l’Union, il n’y a rien d’étonnant que celle-ci soit pour certains coupable de tout.

  6. Vous voulez construire (sic!) une « nouvelle identité européenne », alors que cette identité existe depuis plus de 2 000 ans!… Hélas! Quant à ce qui menace l’Europe, eh bien, c’est le FEDERALISME IMPERIALISTE… regionaliste! Voilà!

  7. Ce qui menace l’Europe, c’est la frilosité, le chauvinisme, l’égoïsme, la vanité des différents gouvernements. Tant qu’il n’y aura pas un noyau minimum commun à tous que ce soit social, fiscal, politique, il n’y aura pas d’Europe. Et ce noyau commun nécessite de la part de chacun un abandon de ses prérogatives. Mais les gouvernements ne sont-ils pas seulement le miroir des gouvernés ?

  8. Chers co-européns,

    C’est en effet le désintérêt, la méfiance envers nos institutions communes dans l’opinion publique de presque tous nos pays, qui menace la construction de notre avenir, et de l’avenir de nos enfants ( et petits-enfants, j’ai 89 ans ).
    Je vous proposeune campagne avec notre logo, le rond avec les 12 étoiles, petit, juste pour accompagner un message. Et dedans: L’EUROPE = NOUS.
    Parfois en fin du message le même logo, mais avec L’EUROPE = -ILS- ( rayé ).
    A diffuser, pas en particulier par les personnalités politiques,ils peuvent appuyer mais rencontrent la même méfiance. Choisissez les responsables du quartier, de la petitte commune, les médecins, ceux qui ont la confiance des petits citoyems. Au Comité Economique et Social d’en prendre l’initiative!

    BOB MOLENAAR La Haye Pays-Bas

    • Enfin une idée positive
      Où est-il , ce logo?

      Non seulement nous n’aimons pas l’Europe , mais nous nous méfions les uns des autres .
      Proposez donc ,juste pour rire , un gouvernement européen composé (pourquoi pas?) d’un ministre de la culture belge d’un ministre des finances grec ,d’un ministre de la défense allemand etc…

      Je vois d’avance les objections des prétendus partisans de l’Union

  9. Etre fier d’etre Europeen, c’est d’abord demolir ces machines des salaires fabuleux de Bruxelles, de Strasbourg et de Luxembourg et s’inspirer du fonctionnement de l’ONU, en adoptant et se fondant sur le chapitre VIII de sa Charte, tout en descentralisant les rouages de notre Organisation Regionale de l’Union Européenne.

  10. Je suis d’accord avec le constat et ce n’est pas le danger futur mais le danger présent et passé.
    La faute au peuple ?
    non, surtout pas…

    Ce sont les politiques, les fonctionnaires européens et nationaux qui n’ont pas tirés les leçons du NON de la France et d’autres pays au traité constitutionnel.

    C’est une lâcheté et un sujet tabou mais je pense que tant qu’on ne sera pas capable de faire dire OUI à une constitution européenne par référendum (basée sur la réaffirmation des droits humains fondamentaux et les principes de fonctionnement démocratique des différentes instances), on en sortira pas.

    Les politiques (notamment les candidats à la présidentielle) devraient être capable de dire :
     » Je ne souhaite pas vous soumettre un nouveau traité dès mon élection par référendum, car l’Europe a de l’inertie et nous agissons en ce moment un peu dans l’urgence du fait de la crise, des mécanismes économique (incompréhensibles)doivent être initiés rapidement. Vous risquez de dire NON.
    En revanche, comme je ne vous soumet pas ce traité, je m’engage à négocier avec les partenaires européens pour qu’une constitution vous soit soumise à horizon 3/4 ans. Ce temps est nécessaire à la préparation d’un texte et d’un référendum.
     »

    Durant ces 3/4 ans, c’est à l’Europe et aux Etats (et au CESE) : politiques, fonctionnaires nationaux et européens, aux médias (peut-être créer un pôle publique de médias européen à cette occasion – et pas piloté par le cabinet du President mais par un conseil d’administration pluriel) de sensibiliser au projet européen, de suivre le processus de rédaction, etc.

    Et au bout de ce processus et de ce vote, ceux qui diront NON décideront également de sortir de l’Europe… Ce sera peut-être triste mais il faut le préparer…

    etc. je m’arrête… je sais pas si c’est possible, si c’est réaliste, mais faut un peu rêver…

  11. Le scénario étant catastrophique, le monde a les yeux braqués sur la crise à la tonalité alarmante, puisque la dynamique de la dette se qualifie de préoccupante. A la croisée des chemins, l’Europe-puissance aura-t-elle un destin pour le troisième millénaire ? Les cicatrices passées renvoyées aux calendes grecques, les concessions refusées au diktat des cyniques, la – substance européenne – héritière des principes fondateurs des Lumières prédira-t-elle la fin de l’apocalypse ? Servant l’Humanité, l’audace lumineuse des architectes visionnaires rend vibrant l’idéal européen – jetant aux orties l’archaïque – tout national -, proscrivant le protectionnisme, refusant la démondialisation, promouvant la solidarité européenne, conjuguant – modernisme économique – et – régulation du marché -, condamnant fermement le laxisme congénital europhobe, et, en lieu et place de la roborative cuisine nationale, mettant en lumière les chics bistrots de l’Union européenne.

    Inscrits à la feuille de route de l’Union européenne, les – Grands chantiers européens – marquent l’ouverture d’une nouvelle ère – la mobilité électrique dans les villes vertes, la réduction de la dépendance occidentale, la progression en génétique, en biotechnologie, en nanotechnologie et en chimie verte. Semblables, singuliers, réciproques, ainsi soit l’Europe de l’égalité.  » Des êtres semblables « , les Européens pratiquent le libre-échangisme. L’égalité européenne se fonde sur  » l’appartenance à une communauté de protection et de distanciation « . Fragilisant la cohésion sociale européenne, l’Europe prépare un surcroît de rigueur luttant ainsi efficacement contre la fraude sociale et contre le travail illégal. Forte de sa stature de puissance internationale, l’Union européenne garde le cap d’une politique ambitieuse et non régressive avec pour ligne de mire la dissolution de la viscosité ambiante. Fustiger la blâmable arriération mentale des eurosceptiques nous incombe sans cesse, mais l’Europe-puissance héroïse l’intégration européenne. A l’aune du dépassement des modèles fondateurs comme par exemple l’Etat-providence des Trente Glorieuses, les orfèvres européistes bâtissent l’Europe-puissance à la mesure des grands défis – New Deal écologique, relance de la croissance, financement durable, recapitalisation des banques, renforcement du FESF (Fonds européen de stabilité financière) et nouvelle gouvernance économique.

    Au sein du continent européen, la paix, la prospérité et la stabilité sont des buts atteints, pour autant les lignes de l’Europe sociale et de l’Europe égalitaire sont à infléchir. Que le rabot coupe, que la réforme structure, toutefois une mobilisation citoyenne à l’aveuglette ne cristallisera aucunement l’Europe-puissance. Conjurant la crise noire tout en redoublant d’efforts méritoires, les gouvernants européens superposent les plans. D’abîmes en gouffres, reconstruire avec créativité et avec humanité ce champ de ruines, redonner un sens profond à l’Europe revient à façonner le  » monde d’après « .

    Pierre-Franck HERBINET est membre de la Société Civile Organisée en adéquation avec le réseau ETAL

  12. Je pense que j’aime l’Europe, mais il faut être réalistes, le fédéralisme n’est pas une bonne voie, enfin pas comme le propose Bruxelles, puisque le regionalisme va nous diviser encore plus… vous imaginez déjà ?? les catalans qui prennent leur indépendance sous couvert d’une « europe fédérale », après à qui le tour aux italien du nord ?? et après qui les bretons et les corses ?? et après quoi la Flandre et la Wallonie .?? NON je suis désolé mais je veux pas d’une Europe fédéraliste qui nous divise encore plus… nous deviendront une sorte de Yougoslavie …

    Je préfère une CONFEDERATION FISCALE, EDUCATIVE, ET TECHNOLOGIQUE ! Une politique commune économique et étrangère et un gouvernement général de la confédération européenne

  13. Je pense que j’aime l’Europe, mais il faut être réalistes, le fédéralisme n’est pas une bonne voie, enfin pas comme le propose Bruxelles, puisque le regionalisme va nous diviser encore plus… vous imaginez déjà ?? les catalans qui prennent leur indépendance sous couvert d’une « europe fédérale », après à qui le tour aux italien du nord ?? et après qui les bretons et les corses ?? et après quoi la Flandre et la Wallonie .?? NON je suis désolé mais je veux pas d’une Europe fédéraliste qui nous divise encore plus… nous deviendront une sorte de Yougoslavie …

    Je préfère une CONFEDERATION FISCALE, EDUCATIVE, ET TECHNOLOGIQUE ! Une politique commune économique et étrangère et un gouvernement général de la confédération européenne…

  14. Le ruban de l’acception fédérale au service des générations ultérieures

    Dans l’intérêt des générations ultérieures, la génération de transition impulse la création d’un nouvel espace de réalisation de projets et le retour de la confiance en notre avenir. Et si nous le construisions ensemble ?
    [Pierre-Franck HERBINET]

    Le décalage troublant de l’opinion publique à la recherche d’une participation démocratique

    La magie de l’envol, aussi ivre soit-elle, irise une opinion publique muette au tempérament hautement politique. A la jonction entre le politique et la – rue -, la société civile, créatrice stratégique à la liberté de ton, infuse sans intrusion mais avec des raisons prudencielles une exploration des nouvelles voies, comme par exemple, les flux migratoires et les emplois complémentaires, n’en déplaise aux dramaturges de la compétitivité industrielle.

    Favorisant la Renaissance, le spin docteur à l’éminente dignité se prononce sur des enjeux de taille – emploi, écologie, éducation, recherche, logement et éducation – afin de donner un horizon, une liberté de choix et une capacité d’action. Défenseur de l’acception fédérale de la construction européenne, les Européens constatent avec gravité la perte de confiance abyssale en leurs élus.

    Loyale, fluide, sûre et soucieuse des générations ultérieures, l’Union européenne doit devenir un vrai lieu politique disposant de vraies compétences dans l’intérêt des populations européennes.

    L’Union européenne entre en risque majeur de turbulence

    A nos illusions perdues, à nos amours défuntes, écrire livre l’ire à l’aune du risque majeur de turbulence. Au clair de lune, la volonté politique de sanctuarisation est mis en exergue sous l’égide des devoirs à l’égard des générations ultérieures. L’absence d’embellie de la vieille Europe glace le sang des européistes, lesquels dénoncent le gel du projet européen sans la vision d’une Europe intégrée.

    Les temps anciens, Vaclav Havel livra une vision libre – L’Europe n’acceptera plus jamais d’être divisée -; les temps modernes, les peuples européens impulsent une ère vertueuse en lissant les risques, en évitant tout risque majeur de turbulence, en coulant dans le marbre la solidarité et la discipline, en reliant la compétitivité, la consommation, la croissance et l’emploi, en impulsant la sobriété et la croissance soutenable, en primant la démocratie politique et en généralisant le principe de précaution.

    Si l’arrêt de la robinetterie nucléaire encourage une démarche éloignée de l’esprit, néanmoins l’amélioration du fonctionnement est en cours d’arbitrage. Nul doute que la modernisation de – l’intérêt collectif – modulera les tuyaux par les règles d’airain de la diversification soutenable. Solidaire et responsable, l’Union européenne respecte la parole donnée, comme par exemple, la libération du Belarus, les priorités écologiques suite à Durban, la lutte contre le chômage et la réflexion au sujet d’un nouveau traité.

    Les aiguillons des VOIES du FUTUR

    L’acception fédérale de la construction européenne, comme le développement de la conscience écologique sont les aiguillons des VOIES du FUTUR. Parcourir les chemins de vie et offrir à une communauté de destin le rêve européen. Et si nous cultivions ensemble la relance de nos intérêts en commun ? A l’aune de l’idéal du bien vivre ensemble, à la mesure des indispensables défis du troisième millénaire, le politique et la société civile promeuvent UN modèle de civilisation aux contours de liberté, d’égalité, de justice, d’équilibre et de démocratie.

    Et si nous faisions quelque chose ensemble pour VIVRE autrement ? De créatives entreprises en solidaires symphonies, la tendance durable jubile grâce aux leviers d’innovations en hautes technologies. Les pionniers en développement durable annoncent un angle de vue soutenable concernant la stigmatisation du gaspillage, la revalorisation des friches urbaines, l’usine verte, les plantations hors sol et la mobilité urbaine partagée. Et si, dans l’unité, nous consacrions du temps au lien entre l’économie et l’écologie ?

    Avec grand plaisir dans l’avenir radieux, une nouvelle ère de VERITE saisissante et de LUMIERE éclairante s’ouvre dans le sillage de l’héritage des Pères fondateurs, des philosophes, des chercheurs et des conducteurs de l’action publique.

    En faveur d’une plus grande intégration politique, le futur supposant un engagement, la France et l’Allemagne motorisent l’Union européenne avec pour moteur commun, la volonté politique d’une Europe unie.

    [Pierre-Franck HERBINET]

  15. « la désaffection croissante de l’opinion publique vis à vis des Institutions européennes »

    « non pas de l’idée européenne »

    « ma priorité sera aujourd’hui de construire une identité européenne »

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    C’est de la belle langue de bois ! Ce qu’il nous faut, c’est pas de construire artificiellement une identité européenne ! Ce qu’il nous faut, c’est un système plus démocratique et moins conservateur (neo-libéraliste by-design). L’Union n’est pas démocratique dans son fonctionnement et se préoccupe plus des marchés que de la réalité du bien-être de ses habitants. Voilà ce qu’il faut changer.

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