Nous avons le plaisir de vous inviter à la prochaine réunion de Sauvons l’Europe. Elle aura pour thème « La démocratie directe, rêve citoyen ou cauchemar populiste ? ».
L’Union européenne doit adopter des institutions plus démocratiques. Le principe de subsidiarité qui va de pair avec le principe de suppléance pour constituer les fondements d’un fonctionnement à caractère fédéral, doit devenir autre chose qu’un slogan sans traduction fonctionnelle. Or en son nom parfois, certains réclament à grands cris l’introduction à large échelle de multiples dispositifs de « démocratie directe ». D’où la question suivante : le fédéralisme implique-t-il la démocratie directe ?
Le fonctionnement au long cours des institutions suisses, qui semblent aujourd’hui désarmées devant la montée du populisme, est certainement de nature à nourrir une fort intéressante discussion.
Avec la participation de :
François Chérix
Co-président du Nouveau mouvement européen suisse (NOMES)
Le débat sera animé par François Mennerat, conseiller national de Sauvons l’Europe
Jeudi 30 mars 2017
18h00 – 20h00
Représentation à Paris du Parlement européen
288 bd Saint-Germain – Paris, 7ème
Métro : Assemblée nationale (ligne 12)
Inscription obligatoire : cliquez-ici
Amitiés europrogressistes,
Le fond d’écran rouge sang de bœuf rend la lecture difficile….
Quelle est la différence entre démocratie et démocratie directe ?
En quoi le populisme serait-il un cauchemar ?
Le populisme est brandi comme un épouvantail par ceux qui entendent gerer les affaires entre personnes de bonne compagnie. Le populisme bien entendu, consisterait à mettre en place dans les deux assemblées des représentants, députés et sénateurs, rprésentatifsdu peuple dans son entier, cad correspondant aux metiers et occupations des différents secteurs de la société française.
Ces représentants seraient en proportion des différents membres du corps social. On peut citer, patrons, médecins, avocats ( ceux la nous n’en manquons pas), mère au foyer, ouvrier, employés, agriculteurs, petits paysans, artistes, professeurs, instituteurs. La liste est a compléter.
Mais les personnes qui ont le pouvoir n’entendent pas le lâcher et c’est ainsi que nous nous retrouvons avec des représentants a la présidence qui n’ont plus de contact avec la réalité des choses. Qui jugent qu’il est normal de rémunérer sa femme ses enfants, des collaborateurs ne dépendant pas de l’organisme par lequel ils sont rémunérés. En fait ils pensent qu’il faut augmenter les places de prison pour enfermer les personnes qui veulent se servir et qui ne sont pas comme eux d’une moralité irréprochable.
La democratie directe serait possible au niveau local, mais le plus haute la governance (national, regionale et globale) le plus de representation et meme sortition deviennent necessaire.