8 MARS : Journée internationale des droits des femmes.
7 MARS : Nouveau Conseil européen pour tenter de trouver, enfin !!!, des dispositions solidaires engageantes pour TOUS les États membres de l’Union européenne et la Turquie afin d’organiser beaucoup mieux l’afflux des réfugiés. C’est aller dans le sens de mettre un terme à cette situation dramatique de crise humanitaire contraire aux valeurs fondamentales de l’Union européenne. Ce sont des échéances pour porter l’attention envers toutes ces populations et en particulier les femmes, qui survivent seules ou en famille, depuis des mois, avec des enfants, sur les routes européennes pour fuir les guerres, les brimades, les viols, les situations de non-droits, la mort.
Ces réfugiés sont contraints par la guerre ou le chaos qui règne au Proche Orient, les menaces des islamistes qui les désignent comme des cibles souvent parce qu’ils sont chrétiens.
Un jour, ils ont pris la décision de tout quitter pour mettre leur famille à l’abri et tenter de donner à leurs enfants un avenir. Dans les pays d’accueils en Europe, en Amérique du nord ou du sud, ils doivent se réinventer une nouvelle vie. Pas facile quand il faut retrouver un travail, un hébergement, reprendre des études, apprendre une nouvelle langue, se fondre dans une culture différente…
Pour se renseigner et agir : aiderlesrefugies.fr. Vous pouvez diffuser largement ce message.
Jean-Pierre Bobichon – Membre fondateur de Sauvons l’Europe
L’Union Européenne n’est pas en mesure d’accepter tous les réfugiés, même en faisant le tri des réfugiés réels et des migrants économiques.
L’Allemagne, qui a un lourd déficit démographique, a cru pouvoir le faire et doit y renoncer, menacée par le flux kolossal qu’elle a ainsi suscité.
La Turquie a attendu ces points de rupture pour exercer son chantage aux réfugiés et migrants, j’empêche-je reprends-j’encaisse 6 mds €.
On peut dire, selon sa propre analyse, que la Turquie saisit « une opportunité d’environnement » ou « fait justement payer ses propres dépenses ».
j’observe simplement que la Turquie était supposée contrôler les émigrations, j’observe aussi qu’en cas d’accord avec l’UE, la Turquie accepterait des « hots-spots » sur son territoire, ce qui souligne simplement que ce n’est pas le cas aujourd’hui.
L’accord sera signé, avec probablement des modalités financières, mais il sera signé. L’UE pourra ainsi accueillir des réfugiés depuis les camps turcs, et la flotte Frontex intercepter les bateaux, sauver les hommes, couler les bateaux et raccompagner les émigrants (non bienvenus en UE) en Turquie.
Embrassons-nous folle ville!
Dans le même temps la Turquie, qui ne doute plus de rien, exige son intégration à l’UE.
Entre les critères de Copenhague, bafoués, et la dérive autocratique meurtrière d’Erdogan, aucune chance!
On va payer la Turquie dans son rôle auto-défini de mercenaire, ce n’est déjà pas glorieux, mais la Turquie s’est clairement située hors de l’Union Européenne.
Vous croyez vraiment qu’une Europe de plus de 400 millons d’habitants n’est pas en mésure d’accueillir un millon de réfugiés? C’est bien décevant. Que dire donc Liban qui, avec même pas quatre millons d’habitants a déjà accueilli un millon de réfugiés? Ne vous vous plaignez donc pas si la Turquie a monnayé si cher ses services de « mercenaire », comme vous les définissez et je suis d’accord avec vous sur ce point. Pour le reste cet accord est un honte pour les principes humaines.
@disqus_6KidGn4Lxr:disqus
l’Europe a accueilli 1,2 millions de réfugiés (surtout l’Allemagne et la Suède)
Je ne me plains pas, j’observe que la Turquie profite de la situation, à laquelle elle a apporté une impulsion.
Je suis d’accord sur les principes.
Au nom de ces principes, la Turquie n’a plus rien de commun avec l’UE, et supprimer les visas des turcs reviendrait à accueillir ceux qu’Erdogan veut expulser, les Kurdes et tous les opposants à son autocratie.