Le 27 septembre dernier, Jacques Delors, à l’invitation de la Fondation Terra Nova, analysait la gestion de la crise des dettes souveraines par l’Union européenne.
Nos amis des « Mercredis du changement » étaient présents pour recueillir l’analyse de l’ancien président de la Commission européenne sur l’approfondissement de la crise et ses conséquences.
Bonjour,
Merci à Jacques et à tous ceux qui ont organisés cette intervention.
Voilà une intervention qui laisse de l’espoir dans la douleur mais qui donne des pistes de propositions pour la dette. Si je ne me trompe.
J’en retiens trois dans l’exposé.
1) caisse Européenne qui prend 3% du PIB pour la dette; Aucune chence ???)
2)investir plus d’euros au niveau Européen qu’au niveau national.
3)Emettre des bons bleus garantis pour les pays vertueux.
Des bons rouges pour les Non vertueux mais sans garanties…
Merci pour cette vision dont nous avons besoin dans cette période si toublée de la montée des populismes et divisions avec une Allemagne en pleine intérrogation sur l’avenir avec tous ou faisant cavalier seul;
L’Europe se bati dans la crise.
L’Euro a dix ans : faire le point…
Renforcer les 160 et donner des objectifs aux 27.
On attend toujours le plan de croissance de 1993…
Les peurs : marchers extérieurs
stucturer la dette.
Exemple de dette : l’argentine à 89 et de L’europe à 300. relativisons…
Les gourous financiers : attention
Pas de fédéralisme budgétaire…
Bilan positif : 2,1 % de croissance sans l’allmamagne.
Les + : l’europe a créé 16 millions d’emplois soit +15%
Intérêts à 2,5%
Plus d’Europe peut sauver nos équilibres sociétal…
Voilà un vrai chef d’état calme mais précis qui sait parler à ses troupes sans les opposer brutalement pour les tirer vers le haut…
Pour l’euro et l’Europe
Emile MICHEL