A l’initiative de plusieurs syndicats du sud de l’Europe, la Confédération européenne des syndicats appelle à une journée de mobilisation en Europe contre l’austérité. En Espagne et au Portugal, ceci se traduit par une grève générale. Les italiens sont appelés à un débraiement de quatre heures.
En France, le front syndical est quasiment constitué, ce qui est une rareté qu’il faut saluer. La CFDT, la CGT, FSU, Solidaires (!) et l’UNSA ont rédigé un communiqué commun, et proposent des actions partout en France. Seule FO ne se joint pas au mouvement, se contentant de saluer la décision de la CES et de participer symboliquement aux manifestations à Madrid.
A Paris, le cortège syndical commun se rassemblera à Montparnasse, sur la place du 18 juin 1940. Il partira à 14h pour l’Ecole militaire. Venez nombreux!
l’Europe syndicale en marche? Ce serait bien évidemment un évènement!
Tu as raison, l’Europe des syndicats est en marche … !
Contrairement à ce que certains pourraient être tentés d’accréditer par calcul bassement politique, ce mouvement dans son expression française, n’est pas une dénonciation du gouvernement mais de l’austérité imposée aux peuples européen par le chantage du monde de la finance.
Il serai temps que ce dernier admette enfin ses responsabilités majeures dans la genèse de la crise que vit le monde et comprenne que les peuples si ces pressions continuent à leur imposer l’inacceptable pourraient bien un jour leur faire payer cher leur aveuglement ou plutôt leur monstrueux égoïsme et leur cupidité révoltante.
Ce mouvement à caractère international et regroupant la majeure partie des organisations syndicales doit être compris comme un avertissement.La peur entretenue chez les salariés de la perte possible de leur emploi entretenue à dessein pour éviter les mouvements de protestation , comme les digues finira par céder devant la colère. Il vaudrai mieux éviter d’en arriver là.
Des actions syndicales conjointes dans tout le sud de l’Europe? C’est déjà quelque chose.
Esperons que ceci continue, car le problème n’est ni grec, ni espagnole, ni portugais, ni italien.
C’est un problème européen et c’est aux peuples de l’Europe renverser les politiques aveugles d’austérité qui détruisent la classe moyènne partout en Europe, et jettent les pauvres dans l’abysme de la précarité.
Si on ne parvient pas renverser la tendence ce aui nous attend serait une répétition de ce qu’on a appellé la Grande Guerre. Avec des formations nationalistes et fascistes presque partout au pouvoir.
Il faut souhaiter en effet que les peuples d’Europe, oubliant quelque temps ce qui parfois les divise, s’unissent comme aujourd’hui ceux de Grèce,d’Espagne,du Portugal, d’Italie, de Belgique et de France pour faire savoir au monde de la finance que tout ne peut être accepté et que le pouvoir ne peut être accordé qu’aux politiques par la voie démocratique du vote populaire.
Espérons qu’ils comprendrons afin d’éviter que ce soit la violence sous différentes formes qui nous attende.
L’Europe syndicale avance un peu plus vite depuis que la CGT a quitté la FSM rattachée au bloc ex communiste issu de la révolution ruusse mais surtout la remise en cause du stalinisme qui a fait des millions de morts avec le Goulag. la CGT a en effet rejoint la CFDT, FO et l’UNSA …dans La Confédération Euopeenne des syndicats auquel adhèrent la plupart des organisations syndicales Des pays Eupeens.
La négociation et sa méthodologie est devenue un élément incontournable du rapport de force . L’obligation de négocier dans la constitution Française est l’objectif du Gouvernement et du projet De François HOLLANDE .
I welcome the EU-wide mobilisation of the unions. A compliment the European Trade Union Federation. But I disapprove of the strikes in Belgium, France or Spain! Strikes make matters worse! And however understandable the fury about unacceptably high unemployment unions have to sit down with employers and reflect how to improve working enhance competitiveness. Europe cannot live in splendid isolation.